Quant à l’origine du toponyme Coassolo, historiquement, on lui attribue une origine romaine dérivant de "coactus" (pas libre, prisonnier), liée au fait qu’ici, comme dans d’autres localités piémontaises de montagne, étaient détenus des prisonniers de guerre et des prisonniers de droit commun.
Coassolo Torinese est une commune des vallées de Lanzo et son histoire a toujours été liée aux vicissitudes de Lanzo depuis 1159, lorsque Frédéric Barberousse était maître de la plupart des vallées alpines du Piémont. Sous la Maison de Savoie, le nom de "Coatiolium" apparaît en 1354 et, de 1557 à 1615, le village de Coatiolium est placé sous le fief du marquis d’Este. En 1615, Coassolo eut son propre Castellano, jusqu’en 1792, lorsque Victor Amadeus II le plaça sous le fief des comtes Milanesio. Diverses autres dominations suivirent, dont la française, jusqu’à l’avènement du royaume sardo-piémontais.
Le territoire communal est dominé par les sommets de Vaccarezza (2203 mètres) et d’Angiolino (2168 mètres), avec un panorama qui, par temps clair, s’étend des Alpes maritimes aux Alpes Cottiennes avec Monviso, du groupe du Grand Paradis, avec les sommets de la Vallée d’Aoste au loin, au groupe de Rosa. La vue sur la plaine est stupéfiante.
Les versants des massifs montagneux sont caractérisés par de nombreux alpages et malghe (cabanes de berger), entourés de pâturages renommés et d’un réseau dense d’itinéraires insolites avec des vues panoramiques inhabituelles. De nombreuses routes, chemins muletiers et sentiers sillonnent le territoire de cette commune : en les parcourant, on peut admirer la nature luxuriante et en grande partie intacte, ou bien tomber sur de petits coins enchantés et redécouvrir encore des œuvres de la civilisation paysanne-montagnarde : maçonneries, outils et procédés en voie de disparition.
Les fresques historiques des églises et chapelles datant de la fin du XVe siècle sont également intéressantes.
Coassolo Torinese est une commune des vallées de Lanzo et son histoire a toujours été liée aux vicissitudes de Lanzo depuis 1159, lorsque Frédéric Barberousse était maître de la plupart des vallées alpines du Piémont. Sous la Maison de Savoie, le nom de "Coatiolium" apparaît en 1354 et, de 1557 à 1615, le village de Coatiolium est placé sous le fief du marquis d’Este. En 1615, Coassolo eut son propre Castellano, jusqu’en 1792, lorsque Victor Amadeus II le plaça sous le fief des comtes Milanesio. Diverses autres dominations suivirent, dont la française, jusqu’à l’avènement du royaume sardo-piémontais.
Le territoire communal est dominé par les sommets de Vaccarezza (2203 mètres) et d’Angiolino (2168 mètres), avec un panorama qui, par temps clair, s’étend des Alpes maritimes aux Alpes Cottiennes avec Monviso, du groupe du Grand Paradis, avec les sommets de la Vallée d’Aoste au loin, au groupe de Rosa. La vue sur la plaine est stupéfiante.
Les versants des massifs montagneux sont caractérisés par de nombreux alpages et malghe (cabanes de berger), entourés de pâturages renommés et d’un réseau dense d’itinéraires insolites avec des vues panoramiques inhabituelles. De nombreuses routes, chemins muletiers et sentiers sillonnent le territoire de cette commune : en les parcourant, on peut admirer la nature luxuriante et en grande partie intacte, ou bien tomber sur de petits coins enchantés et redécouvrir encore des œuvres de la civilisation paysanne-montagnarde : maçonneries, outils et procédés en voie de disparition.
Les fresques historiques des églises et chapelles datant de la fin du XVe siècle sont également intéressantes.