Il existe peu d’informations historiques sur le village, qui a toujours suivi les vicissitudes de Lanzo.
Au Moyen Âge, le village était sous l’influence de Lanzo, agrégé par Charlemagne au comté de Turin. Selon certains spécialistes, Ceres appartenait au diocèse de Turin qui, vers l’an 1000, avait déjà cédé une partie de son territoire au monastère bénédictin de Mathi, puis, à partir de 1310, il est passé sous la domination des Savoie.
Un fait historique certain est qu’en 1724, Ceres a été donné en fief par les Savoie à Leonardo Cotto de Scurzolengo.
Au XIXe siècle, elle commença à être connue et fréquentée comme lieu de villégiature, étant donné sa situation dans une zone riche en bois et en châtaigneraies, idéale comme point de départ pour des excursions dans les montagnes voisines.
Une visite au musée du peuple des vallées de Lanzo vaut la peine pour apprendre une partie de l’histoire locale. La vie locale est racontée à travers d’anciens métiers, des objets quotidiens et des outils de travail. La collection de clous forgés dans cette même vallée est particulièrement intéressante.
La chapelle Voragno, avec ses fresques du XVIIe siècle, témoigne du passage du Suaire.
La visite du pont bossu de la Vana, construit en 1740, et de l’ancienne chapelle de Santa Cristina, but de la randonnée, d’où l’on jouit d’un splendide panorama, est incontournable.
Sentiers et montées : vous n’aurez que l’embarras du choix.
La construction de la ligne de chemin de fer Turin-Cérès a été très importante, tant pour le tourisme que pour les liaisons avec la capitale. Les travaux commencèrent en 1868, en 1876 la ligne fut amenée à Lanzo et en 1916 toute la ligne de montagne fut achevée avec des tronçons d’une pente maximale de 35 %, des courbes de 200 mètres de rayon et une longueur totale d’environ 44 km, le premier chemin de fer au monde à avoir adopté la traction électrique à courant continu à haute tension. Et puis, il y a la charmante gare, strictement Art nouveau avec un toit en pente en bois et un toit qui a été reconstruit plus tard en pisé, dans un style typiquement suisse avec un tracé rectangulaire.
Au Moyen Âge, le village était sous l’influence de Lanzo, agrégé par Charlemagne au comté de Turin. Selon certains spécialistes, Ceres appartenait au diocèse de Turin qui, vers l’an 1000, avait déjà cédé une partie de son territoire au monastère bénédictin de Mathi, puis, à partir de 1310, il est passé sous la domination des Savoie.
Un fait historique certain est qu’en 1724, Ceres a été donné en fief par les Savoie à Leonardo Cotto de Scurzolengo.
Au XIXe siècle, elle commença à être connue et fréquentée comme lieu de villégiature, étant donné sa situation dans une zone riche en bois et en châtaigneraies, idéale comme point de départ pour des excursions dans les montagnes voisines.
Une visite au musée du peuple des vallées de Lanzo vaut la peine pour apprendre une partie de l’histoire locale. La vie locale est racontée à travers d’anciens métiers, des objets quotidiens et des outils de travail. La collection de clous forgés dans cette même vallée est particulièrement intéressante.
La chapelle Voragno, avec ses fresques du XVIIe siècle, témoigne du passage du Suaire.
La visite du pont bossu de la Vana, construit en 1740, et de l’ancienne chapelle de Santa Cristina, but de la randonnée, d’où l’on jouit d’un splendide panorama, est incontournable.
Sentiers et montées : vous n’aurez que l’embarras du choix.
La construction de la ligne de chemin de fer Turin-Cérès a été très importante, tant pour le tourisme que pour les liaisons avec la capitale. Les travaux commencèrent en 1868, en 1876 la ligne fut amenée à Lanzo et en 1916 toute la ligne de montagne fut achevée avec des tronçons d’une pente maximale de 35 %, des courbes de 200 mètres de rayon et une longueur totale d’environ 44 km, le premier chemin de fer au monde à avoir adopté la traction électrique à courant continu à haute tension. Et puis, il y a la charmante gare, strictement Art nouveau avec un toit en pente en bois et un toit qui a été reconstruit plus tard en pisé, dans un style typiquement suisse avec un tracé rectangulaire.