« Pur diamant: chaque facette de son talent dément son âge » (Classica).
Il n’existe pas de meilleure comparaison pour définir la jeune pianiste franco-albanaise Marie-Ange Nguci.
D’un côté, les jalons atteints à seulement 28 ans: à peine âgée de treize ans, elle est élève de Nicholas Angelich à Paris, termine son cursus en trois ans, avant de se spécialiser en analyse musicale, musicologie, pédagogie, violoncelle, orgue et même direction d'orchestre. De l’autre, sa maîtrise technique et son expressivité exceptionnelle, dont elle fera preuve pour la première fois en Sala 500 avec un programme entièrement romantique qui juxtapose des pages de Chopin, Schumann, Ravel et Liszt.