Le village se trouve au pied d’une zone de collines et se concentre autour du sanctuaire de San Firmino, tandis que du haut d’un monticule domine l’église paroissiale de San Lorenzo, déjà mentionnée dans un document des archives archiépiscopales de Turin en l’an 1380.
Déjà seigneurie des Arduinici, Pertusio passa en 1014 à l’épiscopat de Vercelli. Mais avant cette période, il semble que Pertusio ait eu un autre seigneur, la famille Droy, autrefois un groupe familial puissant et noble originaire de Cuorgné et ayant juridiction sur Cuorgné, Valperga, Barbania, Rocca et Levone. Ils durent se plier à l’autorité des comtes de Canavese, mais continuèrent à se faire appeler seigneurs de Pertusio. Ce fut ensuite la seigneurie des familles Valperga et San Martino, qui y construisirent une forteresse aujourd’hui disparue, dans un lieu dont on se souvient encore aujourd’hui sous le nom de « Castellazzo ».
À la fin du XIVe siècle, Pertusio participe à la révolte de Tuchinaggio et, en 1391, se met d’accord avec le fisc du comte de Savoie en payant une lourde amende. Au début du XVIIIe siècle, il s’affranchit entièrement de la domination des nobles.
Déjà seigneurie des Arduinici, Pertusio passa en 1014 à l’épiscopat de Vercelli. Mais avant cette période, il semble que Pertusio ait eu un autre seigneur, la famille Droy, autrefois un groupe familial puissant et noble originaire de Cuorgné et ayant juridiction sur Cuorgné, Valperga, Barbania, Rocca et Levone. Ils durent se plier à l’autorité des comtes de Canavese, mais continuèrent à se faire appeler seigneurs de Pertusio. Ce fut ensuite la seigneurie des familles Valperga et San Martino, qui y construisirent une forteresse aujourd’hui disparue, dans un lieu dont on se souvient encore aujourd’hui sous le nom de « Castellazzo ».
À la fin du XIVe siècle, Pertusio participe à la révolte de Tuchinaggio et, en 1391, se met d’accord avec le fisc du comte de Savoie en payant une lourde amende. Au début du XVIIIe siècle, il s’affranchit entièrement de la domination des nobles.